Amiante à La Terrasse, nos alertes entendues par la commune
Atteinte environnementale
Sur tout le Grésivaudan on retrouve régulièrement des dépôts de plaques amiantées.
A la Terrasse le phénomène a pris de l’ampleur mais vient de trouver sa solution.
Février 2024 :
Depuis plusieurs années GRENE alertait les diverses collectivités locales, commune, intercommunalité, SYMBHI sur de multiples dépôts de plaques d’amiante le long de la digue, à côté du parking de la base de loisirs de la Terrasse. Il est difficile d’intervenir sur ce type de déchets car leur manipulation est dangereuse et nécessite de multiples précautions. Malgré cela, la mairie de la commune vient de faire procéder à l’enlèvement de l’ensemble de ces plaques. Le site en est maintenant complètement débarrassé.
Bravo à la commune!
Il serait intéressant que les diverses communes confrontées à ce type de situation s’inspirent de ce qui a été fait à la Terrasse pour se débarrasser des dépôts de même nature sur leurs territoires.
Un problème similaire nous a été signalé sur la commune de Saint-Vincent-de-Mercuze au niveau de l’étang du Glairon.
Nous contactons la mairie de cette commune pour qu’elle s’inspire de ce qui a été fait à La Terrasse
Mai 2023 :
Nous avons constaté que depuis plusieurs années la digue de l’Isère, à proximité du parking de la base de loisirs, est un lieu de dépôt régulier de plaques d’amiantes.
GRENE avait lancé une alerte sur ce problème en 2018 et nous n’avions pas été entendus à l’époque.
Force est de constaté que ces déchets sont toujours là !
Mais en prime il y en a de nouveaux : donc quatre actuellement.
Nous avons alerté la mairie de la commune et sa délégué à l’environnement s’est emparée du problème. Le SYMBHI qui est en charge de l’entretien des berges a été contacté et semble être prêt à prendre en charge l’enlèvement.
GRENE a été contacté pour localiser précisément les dépôts et on peut espérer que dans les mois à venir le site soit remis en état, site faisant parti de la forêt alluviale de l’Isère.
Cette situation doit être l’occasion qu’une réflexion approfondie au niveau de la communauté de communes, se mette en place pour trouver une solution plus facile pour que les particuliers puissent éliminer ces panneaux de fibrociment qui ont été massivement installés sur de nombreuses toitures au siècle dernier et qui arrivent maintenant en fin de vie